L’atmosphère est une enveloppe protectrice permettant de filtrer une multitude de radiations.

Elle joue aussi le rôle d’une couverture en conservant une partie de la chaleur émise par le soleil: c’est l’effet de serre.

La température moyenne sur Terre est de l’ordre de 15°C.

Depuis l’ère industriel, il y a 150 ans, la température a déjà augmenté de 1,1°C.

L’accord de Paris est de limiter le réchauffement climatique bien en-dessous de +2°C.

Au rythme actuel, 1,2 Md d’êtres humains seront des réfugiés climatiques en 2050.

La vapeur d’eau contribue à 60% à l’effet de serre.

Les émissions de ce gaz par l’humanité à travers l’industrie n’ont cependant qu’un effet limité car la durée de vie de la vapeur d’eau est courte.

Le CO2 est donc le gaz sur lequel agir en priorité.

• 50 % : Atmosphère
• 25% : Océan
• 25% : Biomasse (photosynthèse)

Un autre ordre de grandeur :

Robert Förstemann, un des pistards les plus rapides de la planète, a fourni l'énergie nécessaire à un grille-pain de 700 watts grâce à un vélo pour griller un toast.

Il a réussi à générer 0,021 kWh d'électricité et il n’y a qu’à voir son état à l’arrivée pour être sûr qu'il n'a pas grillé un second toast…

Ça inclut bien les émissions importées (vos vêtements ont été fabriqués où ?)

A horizon 2050, l’objectif est de 2 tCO2e. Il faut diviser par 5 nos émissions.

2 tCO2e c'est un A/R en avion Paris-New York

Participez à un atelier 2tonnes !!

Il faut agir sur tout !!

Et ne pensons pas que CO2, il faut aussi penser à la biodiversité terrestre et marine :

La surpêche est la première cause de perte de biodiversité marine.

Dans le doute, autant tout faire 😉

Pour cultiver une tomate, il faut une grande quantité d’eau, entre 30 et 50L.

Or l’été en Espagne, le stress hydrique est plus important qu’en France.

L’impact environnemental des fruits et légumes est surtout lié à leurs conditions de culture et de production.

Le transport a un impact plutôt marginal

• 10-15% : Data centers
• 25-30% : Réseau
• 50% : Terminal de l’usager

A noter que l’éco-conception des services numériques concentre 60% des améliorations potentielles d’un point de vue environnemental (et notamment 15% pour le développement web et 25% pour l’hébergement)